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Jardin des Tuileries
En 1664, Colbert, surintendant des bâtiments du roi a
commandé l’architecte paysagiste André Le Nôtre, de
repenser l’ensemble du jardin. Il a commencé à tran-
sformer les Tuileries dans un jardin à la française, un
style qui s’est développé à Vaux-le-Vicomte et perfec-
tionné à Versailles, sur la base de la symétrie, l’ordre
et de longues perspectives. Les jardins de Le Nôtre
ont été conçus pour être vu de dessus, d’un bâtiment
ou d’une terrasse. Il a éliminé la route qui sépare le
bâtiment du jardin et l’a remplacé par une terrasse re-
gardant, de haut en bas, les parterres bordés par des
haies bas de la boîte et parterres de fl eurs avec des
motifs fl oraux. Au centre des parterres de fl eurs pose
trois piscines avec des fontaines. En face, au milieu
de la première fontaine, il a conçu la grande allée, à
350 mètres de longueur. Il a construit deux autres vo-
ies, bordées de châtaigniers, des deux côtés.
Ces trois axes principaux ont été traversés par des
ruelles étroites, à créer des compartiments contenant
différents arbres, arbustes et fl eurs .
Sur la côté sud du parc, près de la Seine, il a con-
struit une terrasse bordée d’arbres de long, appelé la
Terrasse du Bord-de-l’eau, avec une vue sur le fl eu-
ve. Une deuxième terrasse a été construit sur la côté
nord, donnant sur le jardin, appelée la terrasse des
Feuillants. Sur la côté ouest du jardin, à côté de la Pla-
ce de la Concorde d’aujourd’hui, construit deux ram-
pes sous la forme d’un fer à cheval et deux terrasses
avec vue sur le bassin octogonal avec un diamètre
de soixante mètres, avec une fontaine au centre. Ces
terrasses encadrées à l’entrée ouest du jardin, et ont
un point de vue différent de voir le jardin d’en haut .
Le Nôtre voulait la perspective du palais, à l’extrémité
ouest du jardin, a poursuivi même au dehors du jardin.
En 1667, il fait un projet pour une avenue, avec deux
rangées d’arbres des deux côtés, qui ont continué à
l’ouest de l’actuel Rond- Point des Champs Elysées.
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