C
e qui n’a pas changé, c’est la fabrication : les lampes
sont toujours fabriquées à la main, avec les outillages
d’origine, dans les ateliers de Saint Priest, en proche
banlieue lyonnaise.
« Jieldé » c’est aussi une équipe : des fondeurs, des
emboutisseurs, des mécaniciens, des peintres « Made in
France », qui lui confèrent une fabrication 100 % française.
Vintage et actuelle, indémodable et sur-mesure, la lampe
« Jieldé » est bien de son époque, et continue à faire
rayonner en France et dans le Monde le nom de son
génial inventeur.
Une fabrication
100% française
Objets inanimés,
avez-vous donc
une âme ?
Jean-Louis Domecq pensait-il à cela lorsque,
en 1949, il pose les fondements de son projet ?
La question reste posée, car ce génial inventeur lyonnais
donne à sa création ce supplément d’âme qui la place
à la frontière entre l’objet d’usage et l’œuvre d’art.
R
este qu’il conçoit une lampe adaptée
aux besoins de son activité, une lampe
simple, robuste, articulée et sans câble
dans ses articulations.
Le modèle définitif voit le jour en 1950.
Pour industrialiser son invention,
Jean Louis Domecq crée « Jieldé »
à partir des initiales de son nom (JLD).
Le succès est au rendez-vous : la lampe
« Jieldé » investit les usines, les ateliers,
les tables à dessin.
Avec le déclin de l’industrie en France,
la production s’essouffle, mais la lampe
garde son potentiel.
Elle plait aux collectionneurs, aux amateurs
de design avec son savant dosage entre
forme, fonction, matière, usage, technique...
mais aussi ce « petit quelque chose »
en plus qui provoque le coup de cœur.
Elle touche le grand public dès les années
90, car elle quitte le monde industriel pour
enchanter l’intérieur de nos maisons, grâce
à la multiplicité des finitions proposées.
Dès lors, la STANDARD devient LOFT.
En 2003 naît la SIGNAL, qui est
une réplique de la lampe originale
en plus petite taille.
Suivront les suspensions AUGUSTIN,
CLÉMENT, BEAUMONT et DANTE,
ainsi que la réédition de la lampe LAK.